Hiroshima, mon amour
En 1985, pour l'anniversaire (!) des 40 ans d'Hiroshima, Midnight Oil rentre en studio afin de fêter l'événement.
Et dénoncer par là-même l'usage pas très gentil gentil de la bombe qui brûle. Et qui fait mal aussi.
Et dénoncer par là-même l'usage pas très gentil gentil de la bombe qui brûle. Et qui fait mal aussi.

Enchaînant des titres à la manière de Midnight Oil :
Couplets à la machette basse/batterie, section rythmique d'une rare efficacité dans laquelle Rob Hirst le batteur magicien fait des merveilles, et refrains choraux et mélodieux à souhait, autour des maîtres à jouer Martin Rotsey, guitare solo impeccable et Jim Moginie, metteur en sons plutôt discret mais au combien important.
D'aucun eurent tôt fait de décrier le dégueulis qui sert de chant à Peter Garrett et là, je dis niet.
Certes, ça chante bizarre et dans les graves mais donne au tout une énergie incontrôlable et construit une des spécificités du son MO.
Quelques années avant le tubesque Diesel & Dust, Species Deceases est avant tout un condensé du savoir faire rock de Midnight Oil en matière d'hymnes et refrains ficelés façon saucisse (et avec ça ma ptite dame ? )- efficacité déconcertante. (Ah! this is something I will remember à la fin de Hercules, peut-être mon morceau préféré tout de même de ce EP, même si le refrain de Pictures est tout aussi entêtant, à moins que l'accroche immédiate de Progress ne me transporte fanchement très loin, tout comme le côtépunk de Blosom and Blood)
En tout cas, remercions le musée de Victoria pour la perspective de ces salles annexes, où squelettes en tout genre côtoient mes camarades les kangourous empaillés, mais pourquoi pas ?
Et remercions avant tout CBS, Prix D'Ami qui me permit de me procurer toute la discographie pré-Diesel&Dust à 40frs (6€ quoi !) pièces et en vinyles...
Et Deezer pour le bon son :
Couplets à la machette basse/batterie, section rythmique d'une rare efficacité dans laquelle Rob Hirst le batteur magicien fait des merveilles, et refrains choraux et mélodieux à souhait, autour des maîtres à jouer Martin Rotsey, guitare solo impeccable et Jim Moginie, metteur en sons plutôt discret mais au combien important.
D'aucun eurent tôt fait de décrier le dégueulis qui sert de chant à Peter Garrett et là, je dis niet.
Certes, ça chante bizarre et dans les graves mais donne au tout une énergie incontrôlable et construit une des spécificités du son MO.
Quelques années avant le tubesque Diesel & Dust, Species Deceases est avant tout un condensé du savoir faire rock de Midnight Oil en matière d'hymnes et refrains ficelés façon saucisse (et avec ça ma ptite dame ? )- efficacité déconcertante. (Ah! this is something I will remember à la fin de Hercules, peut-être mon morceau préféré tout de même de ce EP, même si le refrain de Pictures est tout aussi entêtant, à moins que l'accroche immédiate de Progress ne me transporte fanchement très loin, tout comme le côtépunk de Blosom and Blood)
En tout cas, remercions le musée de Victoria pour la perspective de ces salles annexes, où squelettes en tout genre côtoient mes camarades les kangourous empaillés, mais pourquoi pas ?
Et remercions avant tout CBS, Prix D'Ami qui me permit de me procurer toute la discographie pré-Diesel&Dust à 40frs (6€ quoi !) pièces et en vinyles...
Et Deezer pour le bon son :