Welcome to the 80's (VI)
Dans la foulée, il y aura le Live in the City of Lights de Simple Minds. Ces derniers ont à l'époque une réputation scénique imparable de grands performers, dans les meilleurs, et puis j'ai déjà aimé et entendu Don't you et on entend à la radio Promised you a miracle. Hop ! Le double vinyle dans la poche !
Ce qui nous emmène (oui vous et moi) directement au Palais des Sports pour mon premier concert. J'ai treize ans en ce mois de mai 1989 et Street fighting years vient de sortir. Ah ! Mandela day et son incroybale piano, this is your land ou encore la beauté de Belfast child.
Nous sommes vraiment là dans l'extrême schéma que je me suis modelé depuis ces quelques années : engagement pour les jolies causes (Afrique du Sud, guerre d'Irlande), mélodies magnifiques et émouvantes qui bétonnent un peu les neurones et vient s'ajouter un talent de scène avéré qui doit faire naître (re?) cette envie d'être le centre d'intérêt, le but vers lequel se tournent les regards.
Je ne vous ais pas dit ? Je veux être chanteur, à tout prix, à tue-tête, il n'y a que ça à faire dans la vie ! (Et de se casser la voix qui mue en imitant Peter Garrett !). Surtout à mon âge et depuis le temps que ça me travaille.
D'où ce concert magnifique (forcément, c'est le premier !) avec en prime et en première partie les Silencers pour la sortie de leur très beau A blues for buddha. Même si nous étions tout en haut des gradins (brrr la grande fosse) mon frère, ses copains et moi, et malgré les craintes de mon père ("Fais attention", "T'es toujours excité") cela reste, même encore maintenant, un incroyable et agréable souvenir.
Ce qui nous emmène (oui vous et moi) directement au Palais des Sports pour mon premier concert. J'ai treize ans en ce mois de mai 1989 et Street fighting years vient de sortir. Ah ! Mandela day et son incroybale piano, this is your land ou encore la beauté de Belfast child.
Nous sommes vraiment là dans l'extrême schéma que je me suis modelé depuis ces quelques années : engagement pour les jolies causes (Afrique du Sud, guerre d'Irlande), mélodies magnifiques et émouvantes qui bétonnent un peu les neurones et vient s'ajouter un talent de scène avéré qui doit faire naître (re?) cette envie d'être le centre d'intérêt, le but vers lequel se tournent les regards.
Je ne vous ais pas dit ? Je veux être chanteur, à tout prix, à tue-tête, il n'y a que ça à faire dans la vie ! (Et de se casser la voix qui mue en imitant Peter Garrett !). Surtout à mon âge et depuis le temps que ça me travaille.
D'où ce concert magnifique (forcément, c'est le premier !) avec en prime et en première partie les Silencers pour la sortie de leur très beau A blues for buddha. Même si nous étions tout en haut des gradins (brrr la grande fosse) mon frère, ses copains et moi, et malgré les craintes de mon père ("Fais attention", "T'es toujours excité") cela reste, même encore maintenant, un incroyable et agréable souvenir.